Selon un rapport de ECO, la correction des prix reflète principalement la chute du Brent sur les marchés internationaux, à un moment où de nombreux investisseurs craignent l'arrivée d'une récession en Europe causée précisément par la guerre et les prix élevés de l'énergie.

Le diesel enregistrera une baisse de 8,2 cents, pour atteindre une valeur moyenne de 1,748 euros, selon une source de l'une des plus grandes compagnies pétrolières du pays.

En ce qui concerne l'essence, il s'agira de la neuvième semaine consécutive de baisse des prix. Selon les données de la Direction générale de l'énergie et de la géologie (DGEG), la dernière fois que l'essence a connu un cycle de baisse aussi prolongé remonte à novembre 2018, c'est-à-dire il y a presque quatre ans.

L'automobiliste qui fera le plein à la pompe ce lundi devrait trouver l'essence 95 environ 7,5 centimes moins chère, ce qui portera le prix de vente moyen au public à 1,814 euro.