"La rupture de contrat reste un fléau du marché locatif national au cours des six premiers mois de 2022 : un répondant sur quatre de la 5e édition du Baromètre ALP (24,4%) a des arriérés de loyer", conclut l'étude ALP.

Parmi ceux qui ont des arriérés de loyer, un tiers des défaillances atteignent jusqu'à trois mois d'arriérés de loyer, mais une part importante de 28% des répondants a plus d'un semestre de loyer à percevoir.

Malgré tout, souligne l'association, plus de la moitié des propriétaires dont les locataires sont en défaut de paiement (54,4 %) ont admis qu'ils n'iraient pas devant les tribunaux ou n'ordonneraient pas d'expulsion.