La ville interdit déjà les sondages d'opinion sur les candidats à des fonctions publiques depuis le début de la campagne jusqu'au lendemain de la fin du scrutin. Les médias sociaux et les entreprises de presse sont passibles d'une amende de 11 400 euros, mais les autorités souhaitent étendre l'interdiction à tous les sondages politiques réalisés par des particuliers.